mardi 27 décembre 2011

L'Île des esclaves suivie de La Colonie, Marivaux

     Pour le lycée nous avions cette proposition de lecture, je me suis lancée assez enthousiaste dans celle-ci car j'avais déjà lu du même auteur Le jeu de l'amour et du hasard que j'avais beaucoup apprécié. Mais j'ai été un peu déçue de L'Île des esclaves.

Quelques mots sur l'auteur:
Marivaux est né en 1688 à Paris d'une famille de petite noblesse. Il s'inscrit à la Faculté de Droit à Paris en 1710 mais il ne s'intéresse guère à ses études. En 1712, il publie Le père prudent et équitable, sa première comédie en vers, après avoir arrêté ses études de droits. Son père décède en 1719. En 1721, il est licencié en droit et est reçu en avocat mais il n'exercera jamais réellement. 1725: L'île des esclaves. Il continue d'écrire différentes pièces dont Le jeu de l'amour et du hasard et il décède d'une maladie le 12 février 1763 à Paris .

L’île des esclaves, Marivaux
Éditions Pocket (2005)/ 157 pages


Marivaux n'est pas seulement le magicien des ravissements, des confusions et des conspirations amoureuses. Notre siècle, qui a le goût des paraboles sociales, redécouvre ses pièces en un acte, comme cette Colonie subversive où les femmes ont l'idée de prendre le pouvoir... L'île des esclaves est aussi une utopie , entre la fable philosophique et la comédie à l'italienne. Sur l'île de "nulle part", deux couples de maîtres et d'esclaves échangent leur condition le temps d'un "cours d'humanité". Le serviteur se donne trois ans pour corriger le seigneur de sa barbarie  et de sa superbe, trois ans pour le rendre humains, sensible et généreux. Venu d'une époque qui ne connaissait pas la lutte des classes, ce conte étonne par son amertume et sa souriante cruauté.

Je n'ai  pas un avis très positif pour cette pièce. J'ai trouvé que le sujet n'étais pas assez exploité, la fin est à mon goût trop simple. Pourtant, je pense que l'idée première est intéressante, à l'époque cela n'est pas courant comme sujet. Les échanges de rôles maîtres/esclaves font parfois sourire mais je dirais sans plus.

En revanche, La colonie est mieux exploitée à mon goût, on réfléchit sur la place de la femme. Elles veulent avoir les mêmes droits et choix que les hommes, elles se révoltent.
"Vous êtes l'élu des hommes, et moi l'élue des femmes; vous êtes mon mari, je suis votre femme; vous êtes le maître, et moi la maîtresse; à l'égard du chef de famille, allons bellement, il y a deux chefs ici, vous êtes l'un, et moi l'autre, partant quitte à quitte." Madame Sorbin à Monsieur Sorbin.
 La fin est simple, ce qui est décevant c'est que rien n'a changé sur la condition de la femme. Mais aujourd'hui encore certaines personnes se battent pour obtenir une place égale aux hommes dans cette société. Ce qui est marquant c'est que cette pièce dénonce encore aujourd'hui un problème récurent dans certains pays.

lundi 19 décembre 2011

Stupeur et tremblements, Amélie Nothomb

Alors celui-là avant même de le lire, c'était un coup de cœur rien que pour sa couverture ! Sa petite boite décorée et sa nouvelle inédite: Les Myrtilles.


Quelques mots sur Amélie Nothomb:
Amélie Nothomb est née en 1967 à Kobe au Japon, elle est la fille de l’ambassadeur de Belgique à Rome.
Après avoir vécu ses cinq premières années au Japon, elle est allée vivre en Chine, à New York, au Bangladesh, en Birmanie et au Laos. C'est à ses 17 ans qu'elle s'installe en Belgique. En 1992, elle publie son premier roman Hygiène de l'assassin qui rencontra un réel succès.

Stupeur et tremblements, Amélie Nothomb
Éditions Le livre de poche (2011)/ 186 pages





Au début des années 1990, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise. Elle va découvrir à ses dépend l'implacable rigueur de l'autorité d'entreprise, en même temps que les codes de conduite, incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant. D'erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu'au rang de surveillante des toilettes, celui de l'humiliation dernière. Une course absurde vers l'abîme-, où l'humour percutant d'Amélie Nothomb fait mouche à chaque logne. Entre le rire et l'angoisse, cette satire des nouveaux despotismes aux échos kafkaïens a conquis un immense public et valu à l'auteur d'Hygiène de l'assassin le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1999.

     Tout d'abord avant de lire ce livre, moi qui suis une grande fan de la culture japonaise, me doutais que la société là-bas avait du mal à intégrer les occidentaux mais à ce point là !? Que né ni, j'étais très loin de la vérité !
      C'est une histoire autobiographique de ce qu'a vécu Amélie Nothomb en allant au Japon un an pour y travailler en tant qu'interprète. Mais elle eu du mal à se faire une place au sein des employés de cette société:
"Monsieur Haneda était le supérieur de monsieur Omochi, qui était le supérieur de monsieur Saito, qui était le supérieur de mademoiselle Mori, qui était ma supérieure. Et moi, je n'étais la supérieure de personne."
     Elle eu droit à effectuer quelques tâches diverses, mais en aucun cas elle n'eut le droit de prendre des initiatives. Elle dut demander si elle pouvait se charger de mettre à jour tous les calendriers des bureaux mais elle se fit vite rappeler à l'ordre car elle distrayait le personnel.
     Sa descente au enfer eu lieu en quelques mois seulement, elle n'eut pu faire confiance qu'à elle même. Avec un humour assez décapant elle dit avoir réussit à survivre grâce a son petit jeu de défenestration mentale du haut du quarante-quatrième étage de la tour où elle travaillait.
Ce qui m'a le plus surpris dans ce livre c'est la réaction des personnages: les japonais restent toujours corrects dans leurs manières de s'adresser à Amélie mais ils ne la traitent pas pour autant comme l'une des leurs au contraire ils lui ont donné que de faibles responsabilités.
     Le plus dur je pense est de se faire une place dans la société japonaise, en montrant ses qualités, en faisant ses preuves et avec beaucoup de temps je pense que l'on peut avoir une place parmi eux mais l'on restera toujours occidentaux à leurs yeux.
Mis à part cette description de la société nippone, j'ai bien aimé l'écriture qui se veut simple ainsi que l'humour de l'auteur.
En bref, une bonne lecture ! Je pense lire par la suite Ni d'Eve ni d'Adam celui-ci se passe toujours au Japon et à la même époque peut-être que l'image de ce pays sera plus méliorative dans ce livre.

samedi 17 décembre 2011

Ensemble, c'est tout, Anna Gavalda

     J'ai enfin pu lire Ensemble, c'est tout d'Anna Gavalda. Depuis le temps que j'en entends que du bien, j'ai pu enfin m'en faire ma propre idée !

Quelques mots sur l'auteur:
Anna Gavalda est née en 1970 à Boulogne-Billancourt.
En 1987, elle rédige sa première nouvelle dans une salle d'examen.
Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part (1999) est traduit en 21 langues différentes et vendu à plus de 200 000 exemplaires.
En mars 2004, elle connait un grand succès avec son livre: Ensemble, c'est tout.

Ensemble, c'est tout
Éditions: J'ai Lu/ 573 pages

 "Et puis, qu'est-ce que ça veut dire, différents? C'est de la foutaise, ton histoire de torchons et de serviettes... Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences..." Camille dessine. Dessinait plutôt, maintenant elle fait des ménages, la nuit. Philibert, aristo pur jus, héberge Franck, cuisinier de son état, dont l'existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette, sa grand-mère. Paulette vit seule, tombe beaucoup et cache ses bleus, paniquée à l'idée de mourir loin de son jardin. Ces quatre-là n'auraient jamais dû se rencontrer. Trop perdus, trop seuls, trop cabossés... Et pourtant, le destin, ou bien la vie, le hasard, l'amour- appelez ça comme vous voulez-, va se charger de les bousculer un peu.  Leur histoire c'est la théorie des dominos, mais à l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever.

     J'ai adoré ce livre dès ses premières lignes ! On découvre chaque personnages, on s'attache à chacun d'entre eux: Philibert avec sa façon de parler et sa timidité; Franck avec son mauvais caractère; Camille et Paulette avec leur façon bien à elles de voir le monde.
La façon qu'ils ont de s'aider à se faire une place dans ce monde est très touchante. L'enfance de chacun des personnages est différente et difficile mais ils vont tout faire pour que le reste de leur vie soit plus colorée.
     Camille a un don pour le dessin mais elle a voulu arrêter, alors elle est devenue technicienne de surface. Tous les médecins lui disent qu'il faut qu'elle grossisse mais Camille elle en a marre: elle vit au dernier étage d'un immeuble, dans une pièce mal isolée mais elle fait avec parce qu'elle n'a pas le choix. Et puis un jour, elle va rencontrer Philibert un personnage complètement décalé et c'est à partir de là que tout va s'enchaîner: une belle amitié. Elle va emménager chez Philibert et va rencontrer Franck puis Paulette et tous ces personnages qui a première vu n'avaient rien en commun vont évoluer et s'entraider car le plus important c'est d'être Ensemble, c'est tout.
Une belle leçon de vie ! A lire pour tout ceux qui hésite et comme idée de cadeau.

       « - Tu as raison, on ne va pas y arriver... Il vaut mieux que tu te casses, mais laisse-moi te dire deux choses avant de te souhaiter bonne route : La première, c'est à propos des intellectuels justement... C'est facile de se foutre de leur gueule... Ouais, c'est vachement facile... Souvent, ils sont pas très musclés et en plus, il n'aiment pas ça, se battre...Ça ne les excite pas plus que ça les bruits de bottes, les médailles et les grosses limousines, alors oui, c'est pas très dur... Il suffit de leur arracher leur livre des mains, leur guitare, leur crayon ou leur appareil photo et déjà, ils ne sont plus bons à rien ces empotés... D'ailleurs, les dictateurs, c'est souvent la première chose qu'ils font : casser les lunettes, brûler les livres ou interdire les concerts, ça leur coûte pas cher et ça peut leur éviter bien des contrariétés par la suite... Mais tu vois, si être intello ça veut dire aimer s'instruire, être curieux, attentif, admirer, s'émouvoir, essayer de comprendre comment tout ça tient debout et tenter de se coucher un peu moins con que la veille, alors oui, je le revendique totalement : non seulement je suis une intello, mais en plus je suis fière de l'être... Vachement fière, même... Et parce que je suis une intello comme tu dis, je ne peux pas m'empêcher de lire tes journaux de moto qui traînent aux chiottes et je sais que la nouvelle béhème R 1200 GS a un petit bidule électronique pour rouler avec l'essence pourrie... »

vendredi 11 novembre 2011

Antigone, Jean Anouilh

       Lecture cursive qui pour une fois se trouvait dans ma Wish-List ! J'ai pu en profiter pour découvrir cette tragédie.

Quelques mots sur l'auteur:

Jean Anouilh (1910- 1987) d'origine française est né d'un père tailleur et d'une mère pianiste.
C'est très jeune qu'il découvre les grands auteurs classiques tels que: Molière, Marivaux et Musset. Son premier succès fut la pièce l'Hermine (1932). En 1933 sa pièce Mandarine fut un échec comme Y avait un prisonnier (1935).
En 1941, pendant l'occupation,  il continue d'écrire. Il ne prend position ni pour la collaboration ni pour la résistance. En 1942, il écrit Antigone. La première représentation théâtrale de celle-ci eu lieu en 1944.
A la suite de sa pièce La Grotte (1961) qui fut un échec il décida de se tourner vers la mise en scène.
En 1987, il mourut.

Antigone
Editions: La Table Ronde (la petite vermillon)/123 pages


L'Antigone de Sophocle, lue et relue et que je connaissais par cœur depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre, le jour des petites affiches rouges. Je l'ai réécrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre.

      Ce livre raconte l'histoire tragique d'Antigone. Depuis les première lignes du prologue  on connaît le destin qui l'attend:"Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimée vivre." ce procédé nous rend impuissant pendant toute la pièce, nous sommes justes des spectateurs. Chaque personnage nous est présenté: Ismène, la sœur d'Antigone, Créon: l'Empereur, Hémon, l'amant d'Antigone et les gardes qui ont un rôle important. Le contexte nous est aussi exposé. Après un combat entre les deux frères d'Antigone, l'un est est enterré, il bénéficie d'une cérémonie tandis que l'autre est laissé sur le sol aux yeux de tous, humilié. Antigone décide de recouvrir le corps de son frère. Et c'est ainsi que tout le processus se met en marche.
Chaque personnage va essayer de dissuader Antigone de commettre cet acte, mais celle-ci  va lutter.
Antigone est entêtée, jusqu'au bout elle va s'armer de courage pour faire face à sa propre mort.
Elle ne veut pas réfléchir car elle a fait son choix et qu'elle a peur de changer d'avis.

     " Vous me dégoutez tous avec votre bonheur! Avec votre vie qu'il faut aimer coûte que coûte... Moi, je veux tout, tout de suite, et que ce soit entier, ou alors je refuse! Je ne veux pas être modeste, moi, et me contenter d'un petit morceau, si j'ai été bien sage." ~Antigone~

     J'ai vraiment aimé cette œuvre, elle m'a beaucoup touchée. L'écriture de Jean Anouilh avec notamment la conservation du prologue comme dans l'antiquité était une bonne idée, elle permet de mieux comprendre les sentiments des personnages et par ce biais le lecteur est lui aussi submergé par les sentiments.

mardi 8 novembre 2011

Britannicus, Jean Racine

     Pour le lycée, j'ai du lire Britannicus de Jean Racine. Je sais que ce n'est pas bien de partir avec des préjugés avant même d'avoir lu le livre en question mais il s'est révélé que cette lecture m'a surprise. Je m'attendais à pire ! ^^

Pour commencer quelques mots sur l'auteur:
     Jean Racine (1636-1699)
Racine, ce picard, est né dans une famille relativement modeste. Il a entrepris en 1649 une formation philosophique. Sa carrière a débuté grâce à ses odes consacrées à Marie-Thérèse l'épouse de Louis XIV.
En 1667, Andromaque est un succès. Britannicus reçoit un accueil partagé en 1669.
1670-1677 sont les années de gloire de ses tragédies comme Phèdre, ou encore Bérénice...
    En 1689 et 1691 il écrit deux tragédies ayant des inspirations bibliques: Esther et Athalie

Britannicus
Editions Larousse (Les Petits Classiques)/171 pages







Comment devient-on un tyran sanguinaire? C'est l'intrigue de Britannicus, où Racine montre en 1669, la prise du pouvoir de Néron. Ce "monstre naissant", sous le joug d'Agrippine, mère possessive, et d'un mauvais conseiller, le traître Narcisse, va laver l'affront d'un amour sans retour dans le chantage, l'enlèvement et le meurtre. En quelques minutes, Racine nous fait assister au spectacle de l'avènement, à Rome, de la barbarie.

      Dans cette tragédie on assiste à l'ascension du pouvoir de Néron. Celui-ci cherche à se libérer de l'emprise politique de sa mère et aussi à profiter de son pouvoir. Il tombe amoureux de Junie mais celle-ci aime déjà Britannicus, c'est alors qu'une forte rivalité oppose les deux hommes. Néron n'hésite pas à menacer Junie de bannir Britannicus. Cette compétition est aussi bien sentimentale que politique, Néron a  peur que Britannicus prenne la place d'Empereur qui lui revient et va mener ces personnages à une fin tragique.
     Même si une telle pièce n'est pas un coup de coeur pour moi. Cette lecture n'a pas été si déplaisante. L'histoire d'amour permet de rendre l'histoire moins "lourde" avec plus de sentiments.
L'ascension politique de Néron est aussi intéressante.
En Bref, un classique théâtral à lire au moins pour sa culture.

dimanche 6 novembre 2011

Blog, Jean-Philippe Blondel

C'est parti, je me lance avec ma première chronique. J'ai décidé de la faire sur le dernier livre que j'ai lu.

Blog de Jean-Philippe Blondel.

 Tout d'abord, quelques mots sur l'auteur:

   Il est né en 1964. Il est professeur d'anglais dans un lycée de province.
15 livres qu'il a écrit ont été publiés aujourd'hui. Son premier succès a été Accès direct à la plage (2003).

Blog, Jean-Philippe Blondel
 Éditions Actes Sud (junior)/ 114 pages

 Résumé: BLOG "Le blog, c'était mon espace privé. Mon domaine. Et il a tout salopé. Je trouve ça dégueulasse. Ma révolte, je la revendique. Parce qu'il ne s'est pas retrouvé sur mon blog par hasard. Et qu'il ne s'y est pas rendu qu'une fois. Il l'a suivi, pisté, décortiqué. Quand je suis en face de lui, maintenant, j'ai l'impression de me promener nu en pleine ville."
Révolté par cette trahison, par ce "viol virtuel", le narrateur décide de ne plus adresser la parole à son père. Pour se racheter, ce dernier lui fait un don... une plongée dans le passé qui ne sera pas sans conséquence. Un roman de la filiation et de l'écriture intime.

        Ce livre est plein d'émotions. Il raconte l'histoire d'un adolescent de 15 ans qui tient un blog mais qui ne veut en aucun cas que celui-ci : sa vie privée, soit découverte par ces parents. Et pourtant c'est ce qui va arriver: son père va le lire. L'adolescent se rebelle et décide de ne plus adresser la parole à son père. Alors pour se réconcilier celui-ci décide de faire un "échange", il va donner à son fils un carton dans lequel se trouve son passé. C'est alors que les émotions s'emparent du lecteur comme l'adolescent. On a envie d'en savoir plus, c'est ainsi que les liens entre l'adolescent et son père vont se recréer et se consolider.
       Ce livre nous montre un passage de l'adolescence d'un enfant où celui-ci est confronté au passé pour regarder vers l'avenir. Il doit grandir.

     Au début j'ai trouvé ce livre un peut caricatural sur l'adolescent, puis au fil des pages j'ai trouvé que le personnage principal gagnait en profondeur.
  Cela reste un livre jeunesse, mais c'est une bonne lecture pour faire passer le temps. :-) 


vendredi 18 mars 2011

Bienvenue


Bienvenue sur mon blog !
Je l'ai créé pour partager ma passion qui est la lecture !^^
Je classe ici mes livres et opinions (bon pour le moment il est vide ... mais ça viendra)
Si vous avez des conseils à me donner je suis preneuse, car je débute et j'ai peur de m'éparpiller! Mais je vais tâcher de mettre à jour ce blog fréquemment.
En espérant que ce blog vous plaise.

Emmy.